Un peu plus sur…

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Aujourd’hui, c’est Clare Mackintosh qui répond au micro des sorcières. Ancienne policière devenue journaliste, elle a écrit un premier roman. Un thriller incroyable, traduit dans plus de 20 pays,  qui a été un vrai coup de coeur pour moi. Actuellement elle prépare un nouveau roman. Bien  qu’elle soit anglaise c’est en français qu’elle m’as gentiment répondu. Elle s’excuse des fautes de grammaire qu’elle a pu faire.

Les sorcières: Comment vous est venue l’envie d’écrire? Depuis quand?
Clare Mackintosh: J’ai toujours voulu écrire. Quand j’étais petite j’écrivais un journal, et j’aimais bien écrire des petites histoires et des poèmes. Je n’ai jamais pensé qu’il pouvait être possible d’être écrivaine professionnel – je ne connaissais personne qui le faisait. Donc ce n’était qu’un hobby. Quand j’ai quitté la police – j’avais trois enfants et je voulais passer plus de temps avec eux – j’avais besoin d’une nouvelle carrière, et c’est à ce moment la que je suis devenue écrivaine.

L.S.: D’autres projets à venir ?
C. M. : Mon deuxième roman, I SEE YOU, va être publier en Angleterre le 28 juillet, et en France l’année prochaine. Il s’agit d’une femme qui trouve sa photo dans les annonces sur la page de retour d’un journal. Le roman examine comment nous faisons la même chose tous les jours – le ‘métro, boulot, dodo’ – et comment ces habitudes pourraient nous mettre en danger. Cette année je vais commencer mon troisième livre, et je vais aussi écrire le scénario de TE LAISSER PARTIR. Beaucoup à faire!

 L.S. : D’où vous viens l’inspiration ?
C. M. : Partout. Les journaux et magazines, une conversation entendue, ma propre vie…

L.S. :Quand et comment écrivez-vous ?
C. M. : J’essais d’écrire tous les jours. J’emmène les enfants à l’école, je fais une promenade avec le chien, puis je m’installe dans mon bureau. Je cherche a écrire 1,000 mots chaque jour.

L.S.: Quels sont les auteurs qui vous inspirent?
C. M. : Il y en a beaucoup. Agatha Christie était la maîtresse de crime – ses romans sont si bien tracés – et je suis un grand fan de Sophie Hannah, qui mélange la manipulation avec suspense psychologique.

L.S. :Avez-vous un livre préféré?
C. M. : Rebecca, par Daphne du Maurier. Un classique.

L.S.:Où les lecteurs pourront-ils vous rencontrer ( salons, dédicaces) ?

C. M. : Je serrais à Cultura, une librairie à Begles, entre 14h et 18h vendredi le 1 juillet, et je suis impatiente de rencontrer des lecteurs français. Pendant la semaine suivante je serais a Castillon la Bataille, menant un cours. http://www.chez-castillon.com/course/writing-crime

Je suis toujours très heureuse de chatter par email ou sur Facebook ou Twitter – mes coordonees sont sur mon website. http://claremackintosh.com/

Te laisser partir de Clare Mackintosh

Te laisser partir

Quatrième de couverture:
Une mère accablée par la mort de son enfant. Un capitaine de police déterminé à lui faire justice, jonglant entre tensions familiales et obligations professionnelles.

 

Un peu plus sur…

micro-sorcier   Il y a quelques temps nous découvrions une partie de l’équipe de L’ivre-book sur un salon. Très sympathique nous avons engagé la conversation et après plusieurs autres rencontres sur les salons nous avons proposé à Callie J. Deroy de répondre à nos questions. img_2613.png Les sorcières:Comment t’es venue l’envie d’écrire ? Depuis quand ? 

Callie J. Deroy: J’ai toujours aimé écrire. Toute gamine, je couchais de petites histoires sur papier et la rédaction était mon exercice préféré à l’école. Malgré ça, j’ai attendu longtemps avant d’oser me lancer et j’avais vingt-huit ans lorsque j’ai entamé l’écriture de Liens de sang, qui deviendrait mon premier roman. En commençant, je pensais ne pas arriver au bout, et jamais je n’aurais imaginé être là où j’en suis aujourd’hui. Mais plus qu’un hobbie, je me suis découvert une véritable passion pour ce métier d’auteur et, à présent, je ne pourrais plus rien faire d’autre.

 L.S.:Beaucoup de sorties cette année. D’autres projets à venir ? 

C.J.D: Effectivement, cette année est riche en sorties. Après Délicieux Poison, publié aux éditions Sharon Kena, L.S.Ange et moi-même sortons notre série commune au mois de juin, sous le pseudonyme de Ange Deroy. Et en fin d’année, vous pourrez découvrir ma nouvelle romance contemporaine, Lucy in my sky, qui sera éditée chez L’ivre-Book. Malgré tout ça, oui, j’ai encore pas mal de projets à venir ! J’ai beaucoup d’idées en tête et jamais envie de m’arrêter.

 L.S.: D’où te vient ton inspiration ? Quand et comment écris-tu ? 

C.J.D: Déjà toute petite, je m’amusais à inventer des histoires dans ma tête. Depuis, j’ai bien grandi, et maintenant je les écris. Je ne sais pas vraiment d’où me vient mon inspiration, même si certains éléments de mes histoires proviennent de la réalité. La maman de Stella (Egon, aux éditions L’ivre-Book), par exemple, ressemble à la mienne sur beaucoup de points. J’aime utiliser des anecdotes vécues ou certains traits de caractère des gens qui m’entourent. Je trouve que ça donne à mes personnages un côté « réel » qui est très important pour moi. J’essaie d’en faire de « vraies personnes », en quelque sorte… J’écris dès que je le peux, mais seulement quand je suis seule car j’ai besoin de me couper du monde  pour entrer dans celui de mes héros. Et avec deux petites filles, ça n’est pas toujours facile. 

  L.S.: Dans les nouveautés cette année, une histoire à quatre mains puisque L.S.Ange est de la partie. Comment s’est passé la collaboration ?

 C.J.D.: Étant donné que j’ai co-écrit Inestimable avec ma meilleure amie, vous ne devriez pas être très surpris par ma réponse : merveilleusement bien ! Nous nous sommes beaucoup amusées et nous tombions toujours d’accord sur la suite des événements. L.S. Ange a rédigé le point de vu de Stephen, et moi celui d’Emy. Tout s’est enchaîné sans effort et dans la bonne humeur, et nous sommes fières de notre premier bébé à deux ^^ L’expérience a même été si agréable qu’il est très possible qu’Ange Deroy se mette à l’écriture d’autres histoires… 

L.S.: Comment est venue cette idée ? 

C.J.D.: Lors d’une discussion sur Facebook, où nous parlions de tout et de rien comme le font souvent les copines. L.S. Ange et moi nous sommes rencontrées au Valjoly’maginaire de 2014, où nous avons eu un coup de foudre amical qui ne se dément pas depuis. Et comme nous sommes toutes deux des auteures passionnées, qui de plus évoluent dans un univers similaire, écrire ensemble s’est vite imposé comme une évidence.  

   L.S.: As-tu un livre préféré ? 

C.J.D.: Je suis tombée sous le charme de trop de livres pour en avoir UN préféré. Qui plus est, mes goûts sont très éclectiques, je peux adorer des histoires de styles très différents. Mais si je devais n’en citer  que quelques uns parmi ceux qui m’ont le plus marquée, ce serait sans doute Mille soleils splendides, de Khaled Hosseini, L’empire des anges, de Bernard Werber, Le parfum, de Patrick Suskind, La jeune fille à la perle, de Tracy Chevalier, Les châtiments, de Victor Hugo, ou encore le célèbre Harry Potter… Des œuvres aux antipodes les unes des autres, donc ^^ 

L.S.: Où les lecteurs pourront-ils te rencontrer ? 

C.J.D: Je vais pas mal voyager cette année, les occasions seront donc nombreuses. Les 3 et 4 juin, je serai au Salon du livre de Poitiers, les 2 et 3 juillet prochain, aux Lithaniennes, dans la Nièvre. Viendra ensuite le Valjoly’maginaire, dans le Nord, les Aventuriales, en Auvergne, puis le salon Mons’livre, en Belgique. Pas mal d’opportunités de venir me faire un coucou, donc.

Délicieux poison de Callie J. Deroy

1507-1   « Venir ici était la pire idée que j’ai jamais eue, et de très loin. Bien sûr que je n’allais pas sortir de cette histoire indemne, je me suis voilé la face parce que je crevais d’envie de le revoir. Mais Dorian est un danger, je le sens, je le sais. Et un danger aux multiples facettes. » Depuis le premier jour, il s’invite dans chacune de mes pensées, dans chacun de mes songes. À cause de lui, mes certitudes s’effondrent et ma vie bien rangée vole en éclats. Je vole en éclats. Pour quelques heures en sa compagnie, volées à la décence et à la morale, je suis prête à prendre tous les risques. Lui, Dorian. Sombre et envoûtant. Ma folie. Ma déraison. Mon délicieux poison.

Un seul jour de Callie J. Deroy

Afficher l'image d'origine   Quatorze février, la Saint-Valentin. L’amour éternel, les cadeaux, les petites attentions, une sortie en tête à tête avec son amoureux et la promesse de lendemains radieux. Ou alors la solitude, le chagrin, l’impression douloureuse que tout espoir est mort et que plus rien n’ira jamais. Pour moi, Nina, c’est plutôt la seconde possibilité. Mais autant que je m’y habitue, puisque je sais déjà que je resterai seule jusqu’à la fin de ma vie. Sauf si… Sauf si ma route croisait, par hasard, celle de quelqu’un qui en a décidé autrement… Callie J. Deroy ouvre le bal de notre nouvelle collection La Romance ; et pour fêter cela dignement, nous vous offrons cette histoire.

 Inestimable

   J’accumule les clientes, je ne crois plus en l’amour et ne respecte plus les femmes. Je sombre chaque jour un peu plus dans cette routine autodestructrice. Être gigolo n’est pas un job facile, mais je suis maître en la matière. Pourtant, il va suffire d’une mission, d’une femme pour que tout bascule. Et que ma vie ne soit plus jamais la même… » « Je me marie dans quelques semaines au très froid Nicolas Dambres-Villiers. Être enfin à l’abri du besoin et ne plus avoir peur du lendemain… Je ne demande rien de plus. L’amour ? Non, ça c’est un piège. Et un mensonge. Plus jamais je n’écouterai mon cœur, il ne m’a apporté que douleurs et déceptions. Encore moins s’il me souffle des inepties à propos du type le plus agaçant et arrogant de l’univers… » « Si différents… et pourtant si semblables. Nous ne partageons rien, si ce n’est notre profonde solitude. Comment croire à nouveau que tout est possible ? Que deux êtres que tout oppose puissent avoir une chance de trouver le bonheur ? »    

Un peu plus sur…

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Il y a peu j’ai découvert Vincent Tassy avec son incroyable livre Apostasie. J’avais donc envie de le découvrir un peu plus et c’est avec beaucoup de gentillesse qu’il a répondu à mes questions.

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Les sorcières: Comment vous est venue l’envie d’écrire ? Depuis quand ? 

Vincent Tassy: C’est venu très tôt. Dès que j’ai su écrire, en fait. J’écrivais déjà de petites histoires quand j’avais cinq ou six ans ; ça ne s’est jamais vraiment arrêté. Je ne crois pas spécialement qu’on puisse être « destiné » à quelque chose ou « fait » pour quelque chose, mais mon cerveau semble générer avec obstination une substance bizarre qui fait que je ressens ce besoin impérieux depuis aussi loin que je me souvienne.


L.S: Apostasie est votre premier roman. D’où vous est venue l’idée ? Combien de temps vous a-t-il fallu pour l’écrire ?
 

V.T.:Comme pour beaucoup d’auteurs, le fantasme de mon roman s’est développé à partir d’une image séminale, pour reprendre l’expression d’Umberto Eco. Il s’agit bien évidemment de celle de la forêt aux arbres rouges. C’était en 2008. Au désir de cette forêt s’est immédiatement greffée la figure archétypale d’une princesse endormie – il faut dire que ma très lointaine obsession pour La Belle au Bois Dormant a dû finir par s’inscrire dans mon ADN. J’étudiais à l’époque les persécutions des chrétiens, et j’ai bien vite recroisé le terme d’apostasie, dont les consonances m’avaient toujours fasciné, et je crois qu’il s’est dilué en moi poétiquement. Très rapidement, j’ai visualité l’Ovange, cette fleur qui joue un rôle clef dans le livre. J’ai rédigé, entre 2008 et 2009, une première version de l’histoire, beaucoup plus courte et incroyablement mauvaise ; mais au fond, je l’aimais bien, et je savais que je la reprendrais entièrement un jour ou l’autre, ce que j’ai fait à partir de 2011. Des obligations m’ont éloigné du manuscrit pendant un moment, mais je l’ai malgré tout soumis aux éditions du Chat Noir dans une version largement inachevée. Mathieu Guibé et Cécile Guillot manifestaient de l’intérêt pour mon travail depuis la sélection de ma nouvelle « Malvina Moonlore » pour l’anthologie steampunk Montres Enchantées en 2013, et le début du roman leur a plu. J’en ai donc rédigé la suite, principalement en 2014, et j’ai achevé le premier jet en janvier 2015 – je n’oublierai jamais cette journée ; le ciel était blanc, il neigeait. Apostasie est une sphère qui rassemble bon nombre des thématiques littéraires chères à mon cœur.


L.S:Avez-vous d’autres projets en cours ?
 

V.T.:Je termine actuellement la traduction d’un roman young adult de science-fiction pour les éditions du Chat Noir ; une histoire vraiment originale, que j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir et à retranscrire en français. J’ai également entamé la rédaction d’une nouvelle pour une future anthologie, d’un roman d’horreur pour enfants et d’un nouveau roman vampirique pour adultes ; tout cela verra le jour dans les deux prochaines années, si tout va bien. Il y a quelques autres projets en discussion, tous aussi réjouissants les uns que les autres, mais je n’en dis pas plus pour l’instant. C’est important, les surprises !


L.S:Quels sont les auteurs qui vous inspirent ?
 

V.T.:Il y en a beaucoup ! Les deux premiers volumes des Chroniques des Vampires d’Anne Rice ont été déterminants dans mon goût pour les vampires, de même que Carmilla de Sheridan Le Fanu et, bien entendu, Dracula de Bram Stoker, sans oublier la sublime « Morte Amoureuse » de Théophile Gautier. J’ai beaucoup lu Edgar Poe, aussi. Rien de bien original, je dois l’admettre, mais ce n’est pas un hasard si toutes ces œuvres sont des classiques indétrônables. Les autres auteurs qui m’ont inspiré et qui ont bousculé définitivement mon imaginaire sont probablement Gabrielle Wittkop, Tanith Lee, Léa Silhol et Poppy Z. Brite. Âmes Perdues, le premier roman de cette dernière, a été l’une des plus monumentales révélations dans mon parcours de lecteur. Et la plume de Léa Silhol, que j’ai découverte avec son sublime La Sève et le Givre, m’a envoûté à un point que je ne saurais même pas exprimer. J’aime beaucoup la grande époque des éditions de l’Oxymore et du Calepin Jaune ; j’ai beaucoup lu Estelle Valls de Gomis et Storm Constantine, pour ne citer qu’elles. On comprend aisément comment mon imaginaire a pu se développer, avec d’aussi brillantes influences !


L.S:Avez-vous un livre préféré ?
 

V.T.:Question difficile ! Âmes Perdues de Poppy Z Brite, Le Nécrophile de Gabrielle Wittkop et Carmilla de Sheridan Le Fanu… mais, encore une fois, c’est vraiment une question très difficile !


L.S:Où les lecteurs pourront ils vous rencontrer (salons, dédicaces) ?
 

V.T.:Prochainement, je serai aux Imaginales (dernier week-end de mai), et en septembre au Salon du Vampire à Lyon ; un événement unique en son genre organisé par le génial Adrien Party et toute son équipe du Lyon Beefsteak Club. Voilà les deux événements prévus pour l’instant. J’invite tous ceux que cela intéresse à adhérer à ma page auteur sur Facebook, Velours Vermine ; c’est le meilleur moyen pour se tenir au courant de ce qui se passe dans mon embryon de vie d’auteur 😉

Apostasie de Vincent Tassy

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Anthelme croit en la magie des livres qu’il dévore. Étudiant désabusé et sans attaches, il décide de vivre en ermite et de s’offrir un destin à la mesure de ses rêves. Sur son chemin, il découvre une étrange forêt d’arbres écarlates, qu’il ne quitte plus que pour se ravitailler en romans dans la bibliothèque la plus proche.
Un jour, au hasard des étagères, il tombe sur un ouvrage qui semble décrire les particularités du lieu où il s’est installé. Il comprend alors que le moment est venu pour lui de percer les secrets de son refuge.
Mais lorsque le maître de la Sylve Rouge, beau comme la mort et avide de sang, l’invite dans son donjon pour lui conter l’ensorcelante légende de la princesse Apostasie, comment différencier le rêve du cauchemar ?

Page facebook

Un peu plus sur…

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Aujourd’hui c’est Manon Elisabeth D’Ombremont qui passe au micro des sorcières. Manon Elisabeth d’Ombremont est étudiante en médiation culturelle à l’Université de Liège.

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Les sorcières: Comment t’es venue l’envie d’écrire ?

Manon Elisabeth D’Ombremont: Une excellente question. Je crois que c’est venu en même temps que la passion que j’ai pour la lecture. Quand j’étais plus jeune, on n’avait pas d’ordinateur à la maison et certains week-ends étaient longs. Heureusement, ma mère possédait (et possède toujours !) une bibliothèque bien fournie, alors j’ai commencé à lire quand la télévision ne proposait rien de bon. D’abord Pagnol, allez savoir pourquoi. Puis Agatha Christie. Puis Harry Potter, et c’est là que ma passion pour le fantastique est arrivée. Je n’arrêtais pas d’imaginer des histoires parallèles dans ce monde, je gribouillais sur des feuilles volantes que j’ai perdues depuis. Puis j’ai commencé à regarder MCM et j’ai découvert le manga One Piece (oui cette longue histoire a un sens 😛 ). Entre temps, un ordinateur fixe a fait son apparition dans mon salon et j’ai tout naturellement cherché un forum traitant de ce manga fabuleux. J’ai découvert une communauté sympa qui a ouvert une section RPG (role play game). L’idée, c’était de créer un personnage dans l’univers de One Piece et d’interagir avec d’autres, bref du jeu de rôle textuel. Et tout est parti de là. C’est CE forum, CETTE activité, qui m’a définitivement transmis le virus.

LS: Depuis quand ?

M.E. D’O: Oh ça fait presque onze ans maintenant que j’écris mais pour ce qui est des écrits sérieux, je dirais que ça en fait trois.

LS: D’autres projets en cours ?

M.E. D’O: Trop de projets en cours ! Mon cycle principal est celui des Légendes Faës, qui se déroule en Faëry. J’ai la trilogie principale avec Melyan en héroïne (dont le premier tome est sorti en avril 2015 aux éditions Lancelot) mais je compte développer cet univers. J’ai deux préquels en cours, un sur l’Empereur Fenrír et l’autre sur le prince Serën, qui se passent tous les deux plusieurs siècles avant même la naissance de Melyan et Elyalë.

Dans un registre un peu plus « urban » vous pouvez découvrir ma saga numérique par épisodes intitulée Nechtaànomicon, publiée chez l’Ivre-Book tous les deuxièmes samedis du mois (enfin, plus ou moins :p Mais un par mois en tous cas) et qui donnera très certainement lieu à une intégrale papier, parce que l’éditeur (Lilian pour ne pas le citer) est vraiment extraordinaire. En parlant de l’Ivre-Book, d’ailleurs, ma nouvelle gothique « lune de miel » sortira bientôt en numérique dans la collection l’Ivre-Court.

Outre cela, je travaille également sur Valachya Prince, une saga commencée gratuitement sur Wattpad. Je jongle entre les origines d’Aleksandr (le personnage principal, que vous pouvez découvrir gratuitement) et une histoire plus récente qui commence en 2011 et précède le Nechtaànomicon, où Aleksandr est aussi un personnage récurrent. Je sais, ça devient un peu compliqué là non ?

Pour le moment, je travaille sur tout cela. J’ai également quelques idées, une nouvelle par ci par là, mais je pense qu’on va essayer d’en garder un peu pour 2017 !

LS: Quels sont les auteurs qui t’inspirent ?

M.E. D’O: Ils sont nombreux mais ce n’est un secret pour personne que j’ai mes favoris. On va finir par me traiter d’obsédée mais Pierre Pevel est non seulement mon auteur favori mais également une grande source d’inspiration. C’est un modèle que j’espère un jour égaler. Je dois aussi citer Karen Marie Moning, même si je n’ai pas pour habitude de mettre des histoires d’amour dans mes récits, c’est elle qui m’a fait découvrir pour la première fois les faës alors on peut dire que c’est important. Et enfin, je citerais James Barclay parce que lire les Ravens et les Elfes m’a complètement chamboulée et m’a aidée à m’améliorer dans mes descriptions de combat. J’adore son travail, ses idées et les lecteurs attentifs verront quelques clins d’œil, notamment dans le Nechtaànomicon, en hommage à ses écrits.

LS: Un livre préféré ?

M.E. D’O:  Oula, la grande question que je déteste parce que j’ai plein de livres préférés XD Alors je vais la nuancer et vous dire quels livres j’ai préféré en 2015. J’ai eu deux gros coups de cœur (on le saura) un pour chaque semestre. Le premier, ça a été Bettina Nordet et sa geste des exilés, publié aux Éditions du Chat Noir. Je l’ai rencontrée quand j’avais perdu la foi dans l’urban fantasy, en pleine overdose Milady et waw, la claque. J’ai dévoré les deux premiers tomes et j’attends le troisième avec impatience.

Le second, ça a été Marianna Stern et son Smog of Germania. J’ai un peu flippé d’ailleurs en lisant, parce que je me rends compte qu’on a le même genre d’esprit tordu, la même manière d’appréhender certains sujets, je me suis vraiment retrouvée dans son livre qui est d’une parfaite noirceur.

Et comme jamais deux sans trois, je me dois de parler de Céline Landressie et de sa saga Rose Morte. Je suis une addict de la littérature du 19e siècle et quand je la lis, j’ai l’impression de revenir en arrière. C’est tout bonnement excellent, un style d’écriture à la pointe, une intrigue historique comme je les aime et avec une bonne dose de fantastiques en prime.

Voilà, en 2015, ce sont ces romans que j’ai préférés.

Mais si je dois citer trois auteurs qui traversent les périodes dans mon cœur, ça restera : J.K. Rowling, Pierre Pevel et James Barclay.

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LS: Quels sont les prochains salons où l’on peut te rencontrer ?

M.E. D’O: J’attends encore quelques confirmations donc je ne peux pas répondre à cette question dans l’immédiat, mais vous pourrez retrouver toutes les informations à ce sujet sur mon site Internet : http://dombremont.com/salons.php

Merci pour cette Interview

Légendes Faës – Tome 1 : La chienne de l’ombre de Manon Elisabeth d’Ombremont

legendes faes,tome 1- la chienne de l ombreCette histoire n’est absolument pas féérique et n’a pas une fin heureuse.
À peine donne-t-elle une morale. De toute façon, qui s’en soucie encore ?
Le passé n’apprend plus rien, puisque personne n’en tire des enseignements !
Vous tenez entre vos mains le récit de la chute des mondes, provoquée par une poignée d’êtres aveugles.
Des acteurs aisément remplaçables, animés par leurs désirs futiles de vengeance, de pouvoir et de sang.
C’est une course éternelle, un cycle condamné à se répéter. Dans le nôtre, il n’aura fallu qu’une guerrière fomoire, un Seigneur noir, une reine banshee et un dieu-dragon pour déclencher une fin programmée.
Ensemble, ils m’ont fait écrire l’Histoire en lettres de sang…

NECHTAÀNOMICON

couvertureDans une histoire normale, il incarnerait le sombre méchant supposé mourir à la fin dans un affrontement épique contre un beau et vertueux héros. Le problème : quelqu’un (qui n’a subi aucune menace…) a décidé de lui donner le rôle principal de ce récit. Après tout, le bien, le mal, c’est une affaire de point de vue !
L’Ar’narakhe Nechtaàn est aussi ambitieux qu’égocentrique. Son but : détrôner Bélial et devenir le Sat’han de l’Envie. Son problème : il est scellé dans le corps d’un asiatique et son ancestral ennemi choisit justement ce moment pour réapparaître… Et s’il n’y avait que ça !

 

Un peu plus sur…

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Notre rubrique « un peu plus sur… » revient! Avec une fréquence un peu plus aléatoire par contre car la gestion prend du temps ^^ que je n’ai plus forcément. Voilà donc l’interview de Silvia Cramer. Elle vit actuellement à Montréal.

Silvia Cramer

 

Les sorcières: Comment vous est venue l’envie d’écrire? Depuis quand? 

Silvia Cramer: Il y a une dizaine d’années, en passant à côté d’un chantier, j’ai trouvé un petit bout de céramique par terre. Je l’ai ramassé et je l’ai gardé. Chaque fois que je mettais la main dans ma poche et que le touchais je me demandais pourquoi sa maison avait été démolie, dans quelle pièce il s’était trouvé, quelles étaient les vies qu’il avait vues passer, et ainsi de suite. J’ai noté quelques idées, qui n’étaient pas vraiment un bout d’histoire ni rien, mais je me suis prise au jeu et depuis je me crée des petits moments d’écriture aussi souvent que possible.

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LS: Petite-Etoile est le premier des contes de la bourgade-enchantée. Il y en aura d’autres? si oui, combien?

S.C: Au moment où j’écrivais Petite-Étoile, il y avait un balai de sorcière un peu maladroit qui venait s’emmêler de temps en temps dans mes lignes. On peut le voir dans trois illustrations, tout près de Pouce-Poli. Son histoire n’est pas encore terminée et il n’y a pas de publication prévue, mais j’espère très fort qu’elle verra le jour.

LS: Les illustrations de Marie-Claude Roch sont très douces, pleines de magie. Avez-vous choisit l’illustratrice? Avez-vous travaillé ensemble sur le projet?

S.C: C’est  Pierre Chartray, l’éditeur des Éditions Trampoline qui a confié les illustrations à Marie-Claude Roch après avoir accepté mon texte. Ensuite il m’a envoyé les croquis au fur et à mesure que le travail de Marie-Claude avançait pour nous assurer que le texte et les illustrations s’accordaient bien. C’étaient toujours de très beaux moments parce qu’en écrivant l’histoire j’avais imaginé la voix et l’expression du visage de chaque personnage, mais la vue d’ensemble de la Bourgade-Enchantée m’était très floue. C’est Marie-Claude qui a créé le jardin, le village et les costumes des personnages et c’était étrange et merveilleux de les voir si inconnus et si familiers à la fois.

LS: D’autres projets en cours?

S.C:Trois manuscrits sont partis à la recherche d’un éditeur. Deux textes d’albums et un roman de science-fiction inspiré de mon enfance en Roumanie à l’époque du régime communiste.

LS: Quels sont les auteurs qui vous inspirent?

S.C: J’aime beaucoup les auteurs jeunesse qui soulèvent des questions sociales sur un ton léger et humoristique, sans nécessairement y répondre mais en donnant des pistes de réflexion et en permettant aux lecteurs de se forger leurs propres opinions. Philip Reeve est un de ces auteurs et ça fait plusieurs années que je lis et relis ses romans de science-fiction, autant pour son style humoristique et imprévisible que pour les éléments steampunk qui sont un vrai régal pour l’imagination.

LS: Un livre préféré? 

 S.C: La princesse dans un sac, de Robert Musch et L’Hôtel étrange, de Philip Reeve.

Merci à vous trois aimables sorcières pour cette belle entrevue et d’avoir ouvert votre petit coin d’internet à Petite-Étoile !

Fan art Petite étoile

Un peu plus sur…

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Aujourd’hui c’est un « Un peu plus sur… » un peu particulier puisqu’il s’agit de la retranscription de l’interview d’Anna Todd, auteure du phénomène After.

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J’ai eu la chance avec Julie de Boulevard des passions et Chica et Steph de A l’abordage de la culture de la rencontrer lors de sa présence à Lille pour sa séance de dédicace au Furet du Nord.  1 heure rien que pour nous! C’est très gentillement que la jeune femme s’est prêtée au jeu à peine arrivée en France ( elle était arrivée la veille) . Je tiens à remercier, avant de rentrer dans le vif du sujet, Hugo new  romance , le Furet du Nord, la traductrice, Anna Todd et Chica ( sans elle je n’aurais pas été là ❤ )

Evidemment je ne parle pas assez bien l’anglais donc heureusement que la traductrice était là mais de ce fait cet article sera plus un compte rendu que notre habituelle présentation de questions/réponses.

Anna Todd est une jeune américaine de 26 ans. De son propre aveu elle n’aurait jamais cru écrire un livre encore moins cinq! Aussi lorsqu’elle commence à écrire une fanfiction sur la plateforme Wattpad son mari ne le sais même pas. Il la pense accro à son smartphone, comme beaucoup de personne de nos jours. Elle ne lui en parlera que plus tard lorsque les choses se mettront vraiment  en place car elle ne voulait pas qu’il s’enflamme pour rien. Il est du genre à prévenir tout le monde avant qu’il ne se passe réellement quelque chose.

L’histoire commence par une passion pour les fanfictions et notamment celle autour du groupe One direction.  Frustrée de devoir attendre parfois longtemps que les membres de Wattpad publient leur suite elle décide d’écrire la sienne. L’histoire de Tess et Hardin est venue comme ça, sans vraiment être définie. Tout ce qu’Anna savait c’est qu’elle voulait une héroïne comme toutes les filles pas une icone parfaite.  Chaque jour elle pianote sur son portable qui sera finalement remplacé par l’ordinateur au fur et à mesure que le phénomène prend de l’ampleur.

En effet de plus en plus de membres suivent sa fanfiction. Surtout qu’elle publie très régulièrement et est présente sur les réseaux sociaux. Les lecteurs accrochent à tel point qu’elle est approchée par une maison d’éditions.

Anna nous avoue lire beaucoup et donc passer son temps entre la lecture et l’écriture. De ce fait elle sait qu’un livre ne peut pas plaire à tout le monde. Elle comprend donc ses détracteurs et lorsque  je lui demande si les critiques négatives la touche elle répond  » I don’t care  » 😉 d’autre aime puisqu’ aujourd’hui elle est ici en France en train de signer ses propres livres.

D’autres projets bouillonnent déjà dont une version avec la vision d’Hardin ou des nouvelles sur les autres personnages, ainsi qu’un projet secret ^^

D’ici quelques jours sera annoncé officiellement le rachat des droits pour le cinéma. Anna ne se sent pas d’écrire le scénario puisque ce n’est pas son métier mais aura un rôle de consultante sur le casting, les modifications etc.  Quand on lui demande son casting de rêve elle nous répond: Indiana Evans et Daniel Sharman.

Merci encore à Anna pour sa gentillesse lors de cet entretien très sympathique et plein de bonne humeur et de rire.

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after tome 1

Tessa est une jeune fille ambitieuse, volontaire, réservée. Elle contrôle sa vie. Son petit ami Noah est le gendre idéal. Celui que sa mère adore, celui qui ne fera pas de vagues. Son avenir est tout tracé : de belles études, un bon job à la clé, un mariage heureux…
Mais ça, c’était avant qu’il ne la bouscule dans le dortoir.
Lui, c’est Hardin, bad boy, sexy, tatoué, piercé, avec un « p… d’accent anglais ! » Il est grossier, provocateur et cruel, bref, il est le type le plus détestable que Tessa ait jamais croisé.
Et pourtant, le jour où elle se retrouve seule avec lui, elle perd tout contrôle…
Cet homme ingérable, au caractère sombre, la repousse sans cesse, mais il fait naître en elle une passion sans limites. Une passion qui, contre toute attente, semble réciproque…
Initiation, sexe, jalousie, mensonges, entre Tessa et Hardin est-ce une histoire destructrice ou un amour absolu ?
https://www.facebook.com/AfterHugo?fref=ts

Un peu plus sur…

micro-sorcier

Encore une fois c’est une auteure adorable que nous vous présentons aujourd’hui. Rencontrée sur un salon , nous avons découvert son univers ou devrais-je dire ses univers car elle ne se cantonne pas à un seul style mais va là où l’envie la mène, et c’est tant mieux. Voici le « Un peu plus sur…  » de  Delphine Wysocki.

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Les sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure ? (Depuis quand ? Comment ?…)
Delphine Wysocki: L’envie d’écrire m’est venue assez tard (il y a six ans). Je pense que, tant que je n’avais pas « sauté le pas », cela ne me manquait pas. (Dans le sens où je ne connaissais pas du tout.)
Par contre, quand j’ai commencé à rêver de Lucynda et de Dorian, j’ai su qu’il fallait que j’écrive leur histoire dans un coin de mon bureau. Et quand j’ai commencé, je ne pouvais plus m’arrêter, c’était devenu une drogue ! (À tel point que, à mon ancien travail, je prenais une pause de 15 minutes pour manger en vitesse et ainsi garder les 2 heures de break pour écrire ! lol)
J’écris le plus souvent sur mon ordi, ou mon netbook quand je suis en voyage. Mais j’ai toujours un cahier sur moi, au cas où.

LS: Entre Awkwardly Erotic, Quand la vie vous rattrape… ou même Lucynda Dubois il y a une sacrée différence d’univers ! Tu n’as pas de style préféré ? Tu écris au feeling ?
DW: C’est tout à fait ça, j’écris au feeling ! Si l’on m’avait dit, il y a 2 ans, que j’écrirais des histoires dramatico-sentimentales et érotiques, je ne l’aurais pas cru ! Mais voilà, un jour, tu as une histoire qui défile dans ta tête et qui te chamboule… Alors tu l’écris.
Maintenant, je pourrais dire que jamais je n’écrirais de polar, mais qui c’est, peut-être un jour une histoire viendra d’elle-même ! lol
Mon style préféré ? Aussi surprenant que cela puisse paraître, je ne suis pas fan d’érotisme (hormis peut-être une ou deux histoires que des auteurs m’ont fait lire), je suis plutôt attirée vers les romans de science-fiction, les romans fantastiques (ou l’action et l’aventure priment sur l’histoire d’amour) et les dystopies. J’aime aussi, plus particulièrement, les livres faisant référence aux mythologies (celtique, grecque, égyptienne…) et les histoires de zombies ! lol
Mais en ce qui concerne l’écriture, je dirai que ce qui m’a le plus touché est « Max », une des nouvelles du « Recueil d’histoires courtes pour petits et grands ». J’aime jouer avec les émotions de mes personnages et de mes lecteurs. Je crois que c’est cela, que je préfère le plus…

Fan Art de Quand la vie nous rattrappe

Fan Art de Quand la vie nous rattrape

 

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent ?
DW: Il y a plusieurs auteurs que j’aime.
J’aime Stephenie Meyer et J.K Rowling, et leur façon d’écrire et de retranscrire les sentiments. J’aime Rick Yancey, qui sait laisser planer le mystère jusqu’au bout et nous tenir en haleine…
Après, j’adore lire du Anne Rice, Bernard Werber…
Je pense que le cinéma peut aussi inspirer, ainsi que la télévision. Il y a tant de films fantastiques et de série de tout genre, avec des scénarios bien ficelés ! Je suis une véritable sérieaddict ! lol

LS: Quels sont tes projets pour cette année ?
DW: Dans l’idéal, j’aimerais finir « Tentation Obscure » et le tome 3 de ma saga LD. Pour ce dernier, je ferai tout mon possible pour le sortir avant la fin de l’année, mais je vais avoir plus de boulot sur ce tome-ci que les précédents, beaucoup de recherches…
J’ai aussi l’intention de sortir un second recueil, avec mon amie Astrid.

LS: Des salons prévus ?
DW: Ouh la, oui ! Un paquet même ! lol
Si j’ai pu faire ce petit bout de chemin jusqu’à aujourd’hui, c’est grâce à toutes les personnes qui m’ont soutenue jusqu’à présent, ou qui ont lu et aimé mes livres. La moindre des choses est de les remercier. C’est pour cela que j’essaye de venir voir tout le monde un peu partout, à la mesure de mes moyens 
Pour les dates, les voici :
— le 11 avril 2015 au Furet du nord de Lens
— le 25 avril 2015 au Furet du nord de Cambrai
— le 02 mai 2015 au Cultura de St Quentin
— le 09 mai 2015 au Furet du nord de Valenciennes
— le 16 mai 2015 au Furet du nord de Douai
— le 17 mai 2015 au Salon du livre de Ligny en Cambrésis
— les 30 & 31 mai 2015 à Trazegnies, le château sous les étoiles
— les 6 & 7 juin 2015 à Erquelines, Festivart.be
— les 13 & 14 juin 2015 à Ors, pour le Salon du livre de Bois l’évêque
— les 20 & 21 juin 2015 aux Lithaniennes, au château de Varzy
— les 18 & 19 juillet 2015 à Dormans, salon Dormantastique
— le 12 septembre 2015 au Salon du livre de Sains-en-Gohelle
— les 21 & 22 novembre 2015 au Mon’s livre.
D’autres dates sont à confirmer, notamment un salon fin octobre et un autre fin novembre…

LS: As-tu un livre de chevet ? Tu sais celui que tu adores, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps ?
DW: « Le meilleur des mondes » d’Aldous Huxley. Je l’ai découvert au Lycée et je l’ai lu et relu ! Je l’ai même acheté en double, pour toujours avoir une copie neuve :p
Je pense que c’est un roman qui est très révélateur sur ce que notre société pourrait (ou va) devenir…

Quand la vie vous rattrape… 

Quand la vie vous rattrappeTout le monde souhaite, un jour, rencontrer son âme soeur, fonder un foyer, être heureux?

Moi encore plus que les autres. Ce qui est normal, pour un orphelin. On en rêve, on idéalise même un peu trop notre futur. Le risque, dans tout ça, c’est que l’on peut tomber bien bas?

Alors, quand la vie se met à vous jouer des tours, vous êtes complètement perdu.

Ce que je vous dévoile, ici, est l’histoire de ma vie, une histoire qui me tient à coeur.

Voici l’histoire de mon bonheur, avec Célya, mon âme soeur.

Rien n’est éternel, en ce bas monde, nous l’avions compris bien trop tôt?

Awkwardly EroticAwkwardly Erotic

Comment connaître l’amour alors que l’on est la personne la plus maladroite de la ville ? Comment, ne serait-ce que rencontrer quelqu’un ?
Lou est seule, désespérément seule.
Mais, lorsqu’un nouveau voisin débarque dans l’immeuble, la malchance semble lui coller à la peau plus que jamais.
Parviendra-t-elle à se réconcilier avec l’amour ?
Saura-t-il voir au-delà de cette malchance et ainsi conquérir le cœur et le corps de la belle ?

Lucynda Dubois – Tome 1

Lucynda duboisAyant arrêté ses études, Lucynda, jeune fille sans histoire, travaille à présent dans un fast-food. Elle a toujours eu énormément de mal à s’attacher aux gens qui l’entourent et s’est continuellement sentie à l’écart, sans savoir pourquoi. Mais un beau jour, sa vie va être bouleversée par une horrible tragédie. Elle devra réapprendre à vivre, et à survivre, dans un quotidien qui n’est plus le sien. Le danger sera à chaque coin de rue et elle devra se méfier de tous. Cependant, elle ne sera pas seule face à tout cela, des personnes veilleront sur elle. Sont-ils seulement fiables ? Pourquoi restent-ils si mystérieux ? Et pourquoi ce beau ténébreux l’attire-t-elle, autant qu’il la terrifie ? Entrez dans ce monde inédit à vos risques et périls…

 

Lucynda Dubois – Tome 2

Lucynda dubois tome 2Lucynda aime jouer avec le feu. Après avoir été morte pendant une minute, elle peut remercier son matou préféré de l’avoir sauvée in-extremis. Mais les épreuves ne font que commencer, et les semaines à venir ne vont pas être de tout repos. Profitant du retour de Jimmy et Lucy sur Terre pour l’enterrement de leur famille, la petite équipe sera entrainée dans une multitude d’évènements incompréhensibles qui les emmèneront – sans qu’ils le sachent – dans une course contre la montre pour sauver le monde d’une catastrophe sans précédent. Mais comment secourir tout le monde quand ils ignorent même ce qui va se produire ? Entre amour ou raison, vie ou mort, allié ou ennemi, Lucynda sera confronté à plusieurs choix difficiles à prendre qui mettront sa vie en péril, des choix mortels…

Son site: http://www.delwys.com/

 

Un peu plus sur …

micro-sorcier

Aujourd’hui ce n’est pas un(e) auteur(e) que les sorcières interrogent mais une jeune illustratrices qui a de nombreuses couvertures de lives à son actifs. Elle a accepté avec joie notre proposition et c’est un vraie plaisir que de l’acueillir sur notre blog. Merci à Fleurine Rétoré.

Les sorcières: Quel est ton parcours ? ( depuis quand? comment?…)
Fleurine Rétoré: Adolescente, j’adorais les magazines de séries TV et cinéma. Ils étaient vendus avec des posters (parfois en photo-montage), je les regardais avec envie, en me disant que j’aimerais bien savoir faire ça.
L’envie est restée et je me suis formée en autodidacte via internet.
J’ai commencé par des fanart. Un jour des auteurs en auto éditions, ont lancé un appel à illustration sur un forum dont j’étais membre, ça a donné ma première illustration de romans.

LS: De superbes couvertures de livres, un artbook, des produits dérivées ( flacons, barrettes pour cheveux etc) Rien ne t’arrête?
FR: Il faut dire que pour les produits dérivés, je ne suis pas seule, heureusement que Sophie est là Elle est géniale ! c’est « le monde de Fleurine et Sophie » ! rires.
À nous deux nous arrivons à avoir de belles idées, nous cherchons des concepts peu ou pas exploités, parce que ça ne sert à rien de ressembler aux voisins…
Et si, nous sommes stoppées par le côté financier, d’autres beaux projets sont là, mais irréalisables pour le moment.

LS: Quels sont personnes ou les lieux qui t’inspirent?
FR: L’inspiration vient de tous les jours (humeurs, musique, lecture, film etc.).
Il y a des artistes que j’apprécie énormément comme Mirelle Santana ou Michelle Monique. Ce sont mes références et j’espère un jour arriver à leurs niveaux !

LS:Quels sont tes projets pour cette nouvelle année ?
FR: Continuer à faire des illustrations personnelles, continuer à prendre des cours en ligne et essayer de diversifié mon style.
Préparer les prochains salons, c’est que ça prend du temps de réaliser tous les produits !
Sinon, j’ai quelques illustrations de romans en attentes de diffusion et je travaille sur un superbe projet en collaboration avec une auteure incroyable, pour une maison d’édition, qui devrait paraître l’année prochaine…

LS: Des salons prévus?
FR: Oui plusieurs ! Le salon du livre de Paris (le samedi matin sur le stand des éditions Sharon Kena), Trolls et légendes à Mons, le valJoly Maginaire à Eppe Sauvage et peut être d’autres ?!

Pour découvrir son univers:  LE MONDE DE FLEURINE.COM

Quelques une de ses créations:

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4 ème de couverture : Vous qui me tenez entre vos mains, ne me lâchez pas, car je vous promets un voyage étonnant. J’ai été illustré et mis en mots par des plumes tantôt lyriques, chimériques, émouvantes tantôt sombres, mystérieuses ou fantastiques. Faites le pas avec moi et entrez dans un autre monde. Plongez dans l’univers fabuleux des poèmes, contes et nouvelles de l’imaginaire.

Nouvelles et poèmes : Dana B. CHALYS, Gérald BITSCHY, Fabien CLAVEL, Delphine DUMOUCHEL, Amandine FORGALI, Virginie GOEVELINGER, Mathieu GUIBÉ, Cécile GUILLOT, Sophie JOMAIN, Émilie MILON, Élodie MORGEN, Pascaline NOLOT, Julie P, Amaury QUETEL, Chloé BOFFY, Stéphane SOUTOUL, Patrice VERRY
Illustrations et mise en page : Fleurine RÉTORÉ
Corrections : Gaëlle DUPILLE, Tesha GARISAKI, Blandine LOCUFIER, Christy SAUBESTY et Élodie ZAPPIA

Un peu plus sur…

micro-sorcier

Nous voilà de retour! Nous ne nous laisserons pas abattre par les événements qui touchent de pleins fouet notre famille. Alors toutes nos excuses pour le rendez-vous raté de dimanche dernier. Voici donc l’interview d’une jeune auteure qui a su nous toucher par son humour et sa gentillesse.  Laissons la parole à Coralie Martin.

Coralie Martin

Les sorcières:  Quel est ton parcours en tant qu’auteure? ( depuis quand? comment?…)

Coralie Martin: Bonjour à toutes et tous. Ravie de faire votre connaissance, même si cela n’est que pour quelques instants. Pour répondre à votre questions, chères sorcières de mon coeur, sachez que j’ai toujours écris. Les premiers sujets étaient des déclarations d’amour effrénées (vive le complexe d’Œdipe), ce qui change énormément de mes romans actuels…

LS: Avec L’impératrice tu es loin de ton univers professionnelle comment t’es venu l’idée de cette saga?

CM: Puisque je suis psychomotricienne, morde mes patients pour boire leur sang est mal vu… Mais je suis passionnée par les vampires depuis mon enfance et suffisamment éclectique dans mes lectures pour faire peur à ma mère. J’ai donc naturellement continué à les étudier, quitte à lire des extraits de texte en simili français/latin…

Fan Art de L'impératrice Némésis

Fan Art de L’impératrice Némésis

LS: Comment concilies tu ton travail de psychomotricienne et l’écriture?

CM: C’est assez simple : je me lève, je mange, je vais au travail, quand j’ai une pose j’écris, je rebosse, retourne à mon appart, mange et écris de nouveau. Superbe emploi du temps, n’est-ce pas ?

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent?

CM: J’ai une forte peur du plagiat, donc je ne m’en inspire pas. Après, je possède des séries fétiches comme les aventures d’Anita Blake ou celles de Mercy Thompson…

LS: Quels sont tes projets pour cette nouvelle année?

CM: Je ne suis pas folle (certains diront le contraire, ne les écoutez pas, ce sont des calomnies). Mais je travaille ardemment. Un roman d’heroïc-fantasy est en cours de finitions, idem pour un roman pour ados. J’écris actuellement une nouvelle saga de Fantasy (motarde, voyages et créatures fantastiques sur fond d’enquête) et suis censée terminer celle de Marie Delandeau…

LS: Des salons prévus?

CM: Oui ! Un « salon » motard où je suis en dédicaces, Valenciennes en folie, le 8 Mars, le salon de la BD de Gondecourt le 21 et 22 Mars, les Bouquinales le 11-11 Avril, Sin-le-noble le 18 Avril et les autres en cours de détermination ^^

LS: As tu un livre de chevet? Tu sais celui que tu adore, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps?

CM: Cyrano de Bergerac. Définitivement celui-là… J’espère que vous avez pris plaisir à cette conversation, à bientôt et bonnes lectures !

L’impératrice Némésis de Coralie Martin

L'impératrice NémésisLes vampires sont des monstres suceurs de sang. Leur société est pleine de certitudes, d’arrogance et de stupidité archaïques. Et j’en fais partie.
Mais qu’importe d’appartenir à leur race, tant que cela me permet de détruire celui qui m’a rendue immortelle – celui qui a tué mon enfant, mon amant et pris ma liberté.
Mais mon objectif n’est pas du goût des Anciens. Ma tête est mise à prix. Paria, chassée et morte-vivante, je dois assouvir ma Némésis afin de vivre pleinement une dernière fois…

Mortelle Nyx

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« 1933, année de toutes les nouveautés. Les tyrannies fleurissent en Europe tandis que la France découvre une nouvelle royauté, celle des vampires. Esclave mais reine, voici ma condition actuelle. Bien entendu, le fait qu’un meurtrier s’attaque aux Hautes Sphères et révèle l’existence des cadavres ambulants aux humains n’est pas pour me déplaire, mais la politique est d’un ennui… Sans compter les aléas de ma vie sentimentale, je puis vous assurer que les distractions ne manquent pas en ce siècle… »

 

 

Un peu plus sur…

micro-sorcier

 

Aujourd’hui c’est une auteure que j’aime beaucoup qui répond à nos questions. Accessible et très gentille, elle a accepté sans hésiter de nous accorder un peu de temps. Merci à Céline Landressie ❤ N’en déplaise à certains je suis fan de sa saga 😉 et j’ai hâte de la revoir aux Imaginales .

Les sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure? (depuis quand? comment?…)

Céline Landressie: Depuis quand ? Toujours, même si cela tombe en plein dans les clichés ^^’ J’ai commencé à chatouiller la plume depuis mon plus jeune âge, une passion qui me suivit tout au long de ma vie, bien que je ne m’estimai jamais assez au point pour me lancer.

La donne changea avec l’écriture de la Floraison, dont le premier jet suscita l’enthousiasme de mes proches, tous rigoureux et plutôt sans concessions ^^’

LS: Rose morte possède une écriture dense et riche et un gros travail de recherche historique, comment t’y es tu pris ? 

CL: J’ai peiné 🙂 ! Une telle somme de travail ne s’improvise pas, il faut être prêt à faire beaucoup de sacrifices. Notamment en termes de temps de travail. Réunir la documentation nécessaire à chaque tome est déjà une activité en soit, mais cela ne s’arrête pas là, ensuite, il faut la lire, l’annoter, la comprendre, l’absorber, pour peut-être espérer parvenir à rendre un portrait fidèle de la période historique dépeinte.

Le mieux à faire est de cibler ce dont l’on a besoin de façon générale, puis de resserrer les recherches au fur et à mesure sur les éléments précis qui rentrent en ligne de compte dans le roman. Faute de quoi, on se retrouverait trop vite enseveli. Mais même en procédant ainsi, je suis noyée sous la doc, il faut bien l’admettre ^^’ !

Fan Art Rose Morte

Fan Art Rose Morte

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent ?

CL: L’inspiration pour ce cycle, je la tire essentiellement des œuvres de littérature gothique anglaise des XVIIIe et XIXe siècles, tels par exemple que les classiques Dracula de Bram Stocker, Frankenstein de Mary Shelley, Le portrait de Dorian Grey d’Oscar Wilde, ou Ligeia d’E. Allan Poe.

Ces ambiances à la fois feutrées, psychologiques, intimistes et romantiques (au sens noble du terme, non pas selon l’interprétation « romance » – comprenez : mièvrerie – en lequel notre siècle a dévoyé ce terme) me touchent beaucoup, puisqu’elles correspondent à ce qui m’interpelle en tant que personne. Je suis aussi attirée par ce qui à trait au fantastique, à l’Histoire, ainsi qu’aux intrigues de cour et/ou policière. Dans ces genres respectifs, j’apprécie Stephen King, Simone Bertière, et Agatha Christie.

L’univers que je m’efforce de dépeindre, s’il s’inscrit plus facilement dans la littérature gothique old school, tient néanmoins de mes propres sensibilité, imaginaire et interprétation. Il n’y a nul intérêt à réécrire, en conscience, ce qui a déjà était fait. Aussi, bien entendu, le monde que je livre m’est tout personnel. C’est d’ailleurs pour préserver cela que je me tiens aussi loin que possible de toute œuvre pouvant se rapprocher un tant soit peu du genre dans lequel j’évolue. Je tiens à garder mon esprit vierge de toute imprégnation extérieure ^^’

LS: Quels sont tes projets pour cette nouvelle année ?

CL:  Parvenir à sortir Flétrissures (3eme opus de Rose Morte) en temps et en heure ! Le cheminement des années consacrées à l’écriture ce troisième tome aura été semé d’embûches de taille. Ce fut très difficile de parvenir à sortir un peu la tête de l’eau. Aussi ai-je hâte de quitter de l’ornière dans laquelle j’ai la pénible sensation de m’être enlisée, en voyant enfin l’écriture de ce tome s’achever ! Une fois cela accompli, le projet suivant est d’attaquer le tome 4, qui va demander lui aussi une somme de recherches me donnant déjà le tournis…

 LS: Des salons prévus ?

CL:  Pour le moment, juste les Imaginales 2015, où je serai présente les 4 jours, avec Flétrissures, le 3eme tome de Rose Morte qui sera normalement tout juste sorti des presses ^^ !

Je n’ai pas encore programmé d’autres dates, le calendrier étant terriblement serré, je n’ai pas de visibilité pour le moment. Toutefois, je tiendrai les lecteurs informés via les réseaux sociaux (facebook, twitter, et le blog officiel de la saga).

 LS: As-tu un livre de chevet ? Tu sais celui que tu adore, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps ?

CL: Sans conteste, ce serait l’Histoire sans fin de Michael Ende. C’est un ouvrage qui m’a profondément marqué durant mon enfance, que j’ai relu au moins dix fois et qui comporte une multitude de messages subtils et touchants. Une belle œuvre à mettre entre les mains des enfants (à compter de 11-12 ans, je dirais) pour leur faire découvrir le merveilleux, mais aussi de belles valeurs et leçons de vie.

LS: Merci beaucoup et à bientôt.

CL: Merci à vous d’avoir eu la gentillesse de me solliciter cette entrevue, ce fut un plaisir d’y répondre 🙂 À bientôt !

Rose morte – Tome 1 : la floraison 

Rose morte

France, fin du XVIe siècle.

C’est dans ce pays en proie à de terribles dissensions religieuses que se réfugient les Greer, fuyant l’Angleterre élisabéthaine. Eileen, seule enfant du comte, est une jeune femme vive et au caractère bien tranché.
Mais son âge avance, et son père la met au pied du mur : elle doit se marier.
Et c’est en faisant tout pour se soustraire à cette obligation, avec l’aide de sa fidèle amie Charlotte, que Rose fera la connaissance d’Artus de Janlys.
Le séduisant et mystérieux comte l’entraînera dans un univers dont elle ne soupçonnait pas l’existence, où les crimes terribles qui secouent Paris trouveront une explication apparemment inconcevable, mais bel et bien réelle…

Rose morte – Tome 2: Trois épines

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Alors que la révolte gronde aux quatre coins de la France, Rose est rappelée de la cour de Russie. De retour aux côtés de son mentor, elle découvre que la situation vacille également dans l’univers occulte d’Artus.
Les Arimath doivent faire face à de sauvages attaques sur leurs terres, tandis que la grogne contre la noblesse croît d’instant en instant parmi le peuple. Entre la révolution naissante et les prémices d’une guerre au sein du monde obscur, les bouleversements dans l’existence de Rose s’annoncent cataclysmiques. Leurs conséquences risquent fort de faire sombrer en un même chaos les existences des humains aussi bien que des immortels…

 

La semaine prochaine découvrez un peu plus sur Coralie Martin!

Un peu plus sur…

micro-sorcier

 

Bonjour à tous,

pour ce dimanche nous allons laisser la parole à une auteure que nous apprécions vraiment ( les mini-sorciers l’adorent et râlent quand on la voit et qu’eux ne sont pas là ^^). Elle est vraiment adorable et abordable. Nous ne pouvons que vous conseiller d’aller à sa rencontre que ce soit les petits ou les grands. Il s’agit de Delphine Dumouchel.

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Les sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure? ( depuis quand? comment?…)

Delphine Dumouchel: Vaste question. J’ai commencé à écrire en 2013, avant j’avais un boulot très prenant où j’enchaînais parfois entre 45 et 50 h semaine. Un boulot que j’adorais mais malheureusement quelques soucis de santé m’ont forcée la main vers une reconversion. De fil en aiguille, je me suis repris un petit boulot dans la littérature et un jour une amie m’a envoyée un appel à texte, en me mettant au défi d’essayer. Je n’avais jamais pensé à l’écriture, étant une pure scientifique, devenir auteur c’était un peu comme devenir astronaute. Seulement après avoir lu cet AT, ça s’est mis à tourner à toute vitesse dans mon cerveau, les idées fusaient dans tous les sens, m’empêchant même de dormir. Du coup je me suis lancée.

LS: Tu écris des livres pour enfants mais aussi parfois pour les adultes, tu as une préférence?

DD: J’ai commencé par la littérature adulte. Au fur et à mesure que j’ai élargi les genres, on a commencé à me dire que dans mes textes il y avait toujours quelques marqueurs propres à la littérature jeunesse. Lors d’un atelier BD pour enfants dans lequel je m’étais incrustée (ouais et c’était cool !), l’illustratrice m’a demandé pourquoi je n’écrivais pas du jeunesse. Nouveau challenge en tête, et pas des moindres, car je trouve que la jeunesse c’est bien plus complexe, surtout dans les albums pour mini-pouces. Raconter quelque chose d’intéressant avec une intro, une aventure et une conclusion en ½ page A4… pfiou c’est épuisant.

J’ai une préférence pour l’écriture de romans entre deux, pour les + 8 ans, mais je n’abandonne pas la littérature adulte, elle est nécessaire à mon équilibre mental. Il est bon par moment de pourvoir se défouler sur des textes dépourvus de limites et où on peut faire couler le sang à flot ! (vive Jack l’éventreur !)

Fan art Zoé et le chocolat

Fan art Zoé et le chocolat

 

LS: Certains de tes livres sont accessibles aux dyslexiques c’est quelque chose qui te touche de rendre la littérature plus facile d’accès?

DD: J’ai une formation qui a fait que j’ai côtoyé très souvent des personnes en position d’handicap, et il est vrai que ça me tient à cœur de pouvoir leur proposer de superbes histoires. Je suis moi-même Dysorthographique. J’ai d’autres projets qui normalement pourraient voir le jour en braille et une histoire en version langue des signes.

Pourquoi les Dys ne pourraient pas lire les mêmes histoires passionnantes que leurs camarades ? Les ouvrages qui existaient en police adaptée étaient surtout des vieilleries… mais avec de super éditeurs les choses commencent à changer.

De plus les ouvrages pour Dys sont également géniaux pour les enfants qui galèrent dans l’apprentissage de la lecture. Les phrases sont calibrées par un certain nombre de mots, les lettres plus encrées vers le bas pour éviter les confusions et les mots sont naturellement décomposés et plus espacés. Du bonheur pour tous !

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent?

DD: Je m’inspire souvent de mon vécu, parfois de scènes de mon enfance, j’aime prendre des traits de caractères de personnes que j’ai rencontré et les exagérer, un peu comme dans une caricature. D’autres textes, je me dis qu’il n’y a rien de tout ça mais pourtant une fois ma mère s’est reconnue alors que moi-même je n’avais pas du tout fait attention à la ressemblance de caractère… comme quoi le subconscient l’emporte toujours un peu.

Au niveau des auteurs, j’admire énormément Anne Duguël (alias Gudule). Elle est capable d’écrire des histoires pour adulte terrifiantes et l’instant d’après de basculer dans la douceur d’une histoire de princesse pour les moins de 3 ans.  En fait, j’aimerais bien avoir le même talent. Et puis il y a mon amie Adeline Dias, dont j’admire la plume et sa façon de décrire naturellement les choses et les sentiments.

LS: Quels sont tes projets pour cette nouvelle année?

DD: Pas mal de choses se préparent ! Au printemps, deux sortis d’albums : « Tu pues, le chat ! » aux éditions du miroir aux troubles, une histoire complètement dingue, un album qui fera bien rire aussi les adultes. De plus l’illustrateur avec qui je me suis associée pour ce projet a très bien su faire ressortir toute la loufoquerie que j’avais en tête.

Même période sortira « Zonzon le moustique » aux éditions De Plaines en Vallées. C’est un recueil de 4 histoires pour les plus jeunes sur la vie des petites bêtes qui vivent au fond du jardin. Ce sera le premier volet d’une série de 4 recueils.

A la rentrée, un album « Oh ! Oh ! Oh ! » sur le thème de noël pour les 2-3ans verra le jour aux éditions Hemma (même éditeur que 100 histoires de forêt enchantée).

Novembre sortira un roman première lecture chez la belle maison d’édition Sedrap (branche d’Averbode, édition pédagogique). C’était un projet qui me tenait énormément à cœur, sur la différence, le regard des autres et comment combattre ses démons.

Une histoire hivernale pointera également son nez chez milan presse au mois de Novembre.

Fin d’année, un roman frissonnant « Emporté par le vent » sortira aux éditions du miroir aux troubles. Une aventure sombre avec une malédiction et plein de décor à donner la chair de poule !

Entre deux vont sortir « linotte la sorcière tête en l’air » et «  Billy veut être roi » aux éditions MK67, deux histoires en version kamishibaï et album.

Un autre projet complètement décalé, un roman de Zombie déjanté devrait s’intercaler dans le planning.

Ça c’est pour les sorties dont j’ai les dates !

J’ai encore plusieurs projets sur le feu, notamment la suite du « saboteur de Noël » à écrire, le tome 2 de « Nestor et Balthazar » sorti en décembre dernier, le tome 2 d’  « emporté par le vent », mais aussi une légende écossaise fort attendue par une éditrice, un roman de fiction historique sur la période 14-18 et un roman YA contemporain un peu larmoyant…

Et d’autres que j’oublie sûrement ou qui viendront s’ajouter sournoisement la nuit !

LS: Des salons prévus?

DD: Oui ! J’adore les salons ! C’est formidable de rencontrer et de partager. Pour le planning le mieux est de suivre sur mon site internet car j’en rajoute souvent, je fais en moyenne 2 salons par mois.

LS: As tu un livre de chevet?

DD: Plutôt une bibliothèque de chevet ! J’adore lire et collectionner. Si je devais en choisir un comme livre de chevet ? Freud ! Métapsychologie, deuil et mélancolie.

LS: Lequel  conseilles-tu tout le temps?

DD: Arf, dur dur. J’en ai plusieurs qui m’ont bien marqués. « Le livre qui rend dingue » de Frédéric Mars, ou peut-être toute la collection tabou des éditions Mortagnes dont chaque livre vous prend aux tripes. Dernièrement pour la réflexion et sa poésie « un cadeau du ciel » de Suzanne Roy.

http://dephinedumouchel.wifeo.com/

Zoé et le chocolat de Delphine Dumouchel et B. Boulet

   
Zoé la vache adore le chocolat.
Où en trouvera-t-elle ? 
A l’école bien sûr ! 
Mais tout le monde n’est pas d’accord.
100 histoires dans la forêt enchantée
Recueil collectif richement illustré à lire avant de s’endormir !à partir de 3 ans.
Antho-noire pour nuit blanche

…du polar au steampunk
…du fantastique à l’humour noir

Découvrez 15 nouvelles qui vous laisseront toutes un étrange goût de sang dans la bouche !
Pour cela, suivez nos auteurs dans leurs histoires et frisonnez avec eux jusqu’au bout de la nuit.
Retrouvez Sylvie Arnoux, Elodie Baillot, Rémy Catalan, Sophie Dabat, Delphine Dumouchel, Anne Feugnet, Barbara Fouquin, Corinne Gatel-Chol, Kyoko, Lanael Logan, Menerahn, Solenne Pourbaix, Béatrice Ruffié-Lacas et Jérémy Semet dans cette anthologie pas comme les autres qui a, sans doute possible, sa place dans votre bibliothèque

Artbook raconté

 

Vous qui me tenez entre vos mains, ne me lâchez pas, car je vous promets un voyage étonnant. J’ai été illustré et mis en mots par des plumes tantôt lyriques, chimériques, émouvantes tantôt sombres, mystérieuses ou fantastiques. Faites le pas avec moi et entrez dans un autre monde. Plongez dans l’univers fabuleux des poèmes, contes et nouvelles de l’imaginaire.

 

Un peu plus sur…

micro-sorcier

 

Bonjour à tous,

aujourd’hui nous allons vous parler de Jess Swann, jeune auteure qui aime reprendre les héros de Jane Austen et les transposer dans le monde moderne mais pas seulement. J’adore ces interviews car en plus de vous les faire découvrir je m’aperçois souvent que j’ai plein de goût commun avec les auteurs 🙂

Jess Swann

 

Les sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure? (depuis quand? comment?…) 

Jess Swann: Alors… j’ai toujours voulu écrire, mais j’avoue que, plus jeune, je manquai d’idées… Puis, j’ai vu Pirates des Caraïbes 2 et pouf : déclic ! J’ai donc commencé à écrire des fanfictions (en 2006). Des choses pas terribles au début, mais les années passant, « l’expérience » aidant, j’ai commencé à acquérir une « méthode d’écriture ». Peu à peu, je me suis également démarquée du fan dom Pirates en inventant mes propres personnages et en les intégrant à l’histoire, puis en explorant d’autres œuvres à travers la fanfic ( Twilight, Orgueil et Préjugés, Vampire Diaries…). En parallèle, j’ai également commencé à inventer mes propres histoires (le premier jet de « La dame aux papillons » date de 2011 au départ, l’histoire faisait…6 pages !

J’avoue que je ne me suis jamais projetée comme « auteure éditée », à la base j’y suis venue par hasard… C’est Anne Rossi qui m’a transmis l’appel à textes des Roses Bleues pour une réécriture moderne d’Orgueil et Préjugés : connaissant assez bien le roman, je me suis dit que j’allais tenter pour le fun et pour avoir l’avis d’un pro sur mon écriture. Sauf que j’ai gagné… du coup, je suis rentrée dans le bain et, une fois qu’on a été éditée, c’est dur de revenir en arrière et de reprendre ses petites fanfic ^^. Du coup, je me suis investie à fond dans mes propres histoires, plutôt que de continuer celles des autres.

LS: Après Amour Orgueil et préjugés ( qui fait penser à Jane Austen) tu écris La dame aux papillons qui se passe en 1815, Le XIXème siècle te passionne?

JS: Oui et non. A la base, je préfère toujours écrire des histoires qui se situent dans le passé c’est vrai. Mais ma vraie passion c’est la littérature anglaise. J’aime Jane Austen, les sœurs Brontë… Les romans gothiques aussi : La dame aux papillons est d’ailleurs un « hommage » au genre.

Fan art La dame aux papillons

 

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent?

JS: Les auteurs sont principalement des « classiques » : Jane, Margaret Mitchell, Wilkie Collins. Des auteurs qui prenaient le temps d’écrire et de développer leurs histoires. Sur les personnes, je dirais que je pense souvent à Ian Somerhalder quand j’imagine mes personnages masculins *rire*

LS:  Quels sont tes projets pour cette nouvelle année? Des salons prévus?

JS: Mes projets… Ouch beaucoup de choses. Déjà la sortie de « Constance et Séduction », réécriture moderne de Raison & Sentiments qui est sortie en Février chez Artalys. Ensuite, retour à mes premières amours avec le tome 1 de l’époque 1 de ma saga «  Le seigneur du Miroir Fumant » , un mélange de piraterie et de mythologie aztèque (d’ailleurs, à la base c’est une fanfic que je « dépiratedescaraïbise » afin d’en faire une vraie histoire). Une fois cela terminé, j’enchainerai sur la réécriture moderne de Northanger Abbey (encore Jane Austen ! )

Côté salon, j’ai prochainement deux salons de prévus dans le Nord de la France mais cela reste à confirmer ^^

LS: As tu un livre de chevet?  Tu sais, celui que tu adores, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps?

JS: AUTANT EN EMPORTE LE VENT !! Je l’ai lu…. Nettement plus que 15 fois, je le connais pratiquement par cœur et j’attends avec impatience de pouvoir en faire une version moderne (oui, j’ai un problème avec ça ^^). Sinon, j’ai aussi Les liaisons dangereuses, Orgueil et Préjugés, Dracula… Mais aussi les romans de Virginia C Andrews (les vrais, pas la franchise) toute la saga Angelique d’Anne Golon et plus récemment Ambre de Kathleen Winsor. Ce sont des romans intemporels et j’ai toujours autant de plaisir à les relire, je m’en inspire beaucoup pour construire mes histoires.

 

La dame aux papillons de Jess Swann

La dame aux papillonsPort Royal, 1815.
Violet Sorrow, née d’une Créole et d’un Anglais, ne se tient plus de joie! Elle va enfin rencontrer la famille de son défunt père et visiter la lointaine Angleterre, dont son père lui a tellement parlé. Mais quand elle arrive sur place, elle reçoit un accueil mitigé. Son cousin germain Andrew, ce jeune homme exécrable qui passe ses journées à boire, semble la détester, alors que sa cousine Constance l’enchante par son caractère joyeux et spontané. La société anglaise est-elle aussi parfaite qu’elle l’avait pensé ? Et quel secret cache aux yeux du monde William, l’oncle de Violet ?
Les apparences sont parfois trompeuses, ce que notre héroïne apprendra aux détours d’un récit gothique où la folie côtoie une antique mythologie… Sans oublier un soupçon de romance.
Amour, orgueil et préjugés

Amour, orgueil et préjugé
Cassandra Nothfield est étudiante à la faculté de Lettres de Limerick, Irlande. Si elle a une tendresse particulière pour son père, professeur retraité de Lettres, et une grande complicité avec sa soeur aînée, au caractère pourtant radicalement opposé au sien, Cassandra se sent en décalage avec sa mère et ses autres soeurs. Toutefois, aussi exubérantes que ces dernières puissent être, elle ne tolère pas qu’on les raille.
Pour qui se prend ce grand brun aussi séduisant qu’arrogant qui se tient aux côtés du jeune directeur Lorley, lors de la présentation de la nouvelle filiale commune à leurs deux groupes ?

Toutefois, les apparences sont souvent trompeuses et la fierté mauvaise conseillère.
Les actes se révèleraient-ils plus éloquents que les mots lorsqu’il s’agit d’amour ?

Constance & Séduction


Après le décès de leur père, Isobel et Helen Westlake sont forcées d’abandonner la demeure dans laquelle elles ont grandi et déménagent à Chester dans le nord de l’Angleterre. Tandis qu’Isobel entretient une relation amicale avec Adam, tout en tentant de mener sa carrière et de veiller sur sa cadette, Helen fait la connaissance du flamboyant Oliver Vane… Amour, frustration et surtout vérités cachées sont au rendez-vous de cette réécriture moderne de « Raison et sentiments » de Jane Austen.

Ses blogs: Jess Swann et La plume de Jess Swann

La semaine prochaine découvrez un peu plus sur Delphine Dumouchel.

 

Un peu plus sur…

micro-sorcier

Nous voici à notre quatrième rendez-vous! Un mois que les sorcières sont devenues « journalistes » . Je tiens encore une fois à remercier toutes les personnes qui ont acceptées de répondre  . Le premier trimestre est bouclé et je pense du coup continuer au delà .

Aujourd’hui nous allons vous parler d’une carotte bourrée d’humour ( proche du notre … c’est pas forcément une référence ^^) :  Virginie Goevelinger qui a su nous charmer avec son livre à l’atmosphère ouatée.

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Les Sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure? ( depuis quand? comment?…)

 Virginie Goevelinger: Un parcours semé d’embuches qui au départ n’était pas le mien. J’écrivais durant mon adolescence des poèmes pour m’aider à encaisser certaines choses dont il était très difficile de parler, même si mes parents étaient très ouvert et très à l’écoute, mais j’ai réussi grâce à cela à exorciser mes propres démons. J’ai eu un bête accident qui m’a cloué au lit pendant plusieurs mois en 2010 et pour m’occuper j’ai repris une histoire que j’avais commencée lors de mon voyage en Irlande en 2003. Et j’y ai pris goût.

LS: Les parents adoptif de ton héroïne sont irlandais et l’ambiance de ton livre assez américaine, ce sont des pays qui te font rêver?

VG: L’Irlande oui, les USA aussi d’une certaine manière mais parce qu’une partie de ma famille vit là-bas, après qu’un de mes aïeuls est migré là-bas en 1906. Après la grande famine qui a frappé l’Irlande au début du XXème siècle, beaucoup d’irlandais sont allés aux USA pour fuir la misère, donc ça me paraissait logique.

Fan art Attraction Céleste

Fan art Attraction Céleste

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent?

VG: Je ne sais pas si des auteurs ou personnes m’inspirent, je dirais plutôt qu’ils m’influencent surtout pour les auteurs. Je m’inspire de certains de mes souvenirs et mes rêves.

LS: Quels sont tes projets pour cette nouvelle année?

VG: Comme projet, je vais ressortir le tome 1 d’Attraction Céleste en auto-éditions, pour des raisons de divergences d’opinions j’ai mis un terme à mon contrat avec mon précédent éditeur, le tome 2 devrait voir le jour, peut être également un recueil de carottes, j’ai également d’autres romans en cours sur lesquels il faut que je bosse, j’espère organiser un salon du livre dans mon village au mois de juillet et des projets d’ordre plus personnel vont voir également le jour à la rentrée de septembre si tout va bien.

LS: Des salons prévus?

VG: j’avoue que je suis un peu en retard pour mon agenda.

LS: As-tu un livre de chevet?

VG: En ce moment j’en ai plusieurs, je viens de finir « Psycho Killer » que j’avais acheté pour Delphine Dumouchel et sur toute la couverture j’ai remplacé le mot « Killer » par « Kinder ».

LS: Et un que tu adores, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps?

VG: Ceux que j’ai relu le plus de fois se sont les Harry Potter, j’avoue je ne m’en lasse pas, j’aimerai bien aussi relire le Da Vinci Code, mais en ce moment je n’arrive pas à me replonger dans les livres je dois avancer déjà sur les miens et finir mon tome 2 où il me reste que 2 chapitres.

 

La prophétie des anges – Tome 1 : Attraction céleste de Virginie goevelinger

Attraction célesteAbigaëlle O’Donnel porte sur ses épaules un lourd secret. Elle peut voir le passé, le présent et le futur des personnes qui l’entourent, mais elle peut également capter leurs sentiments. Si, elle a ce pouvoir, c’est parce que son don découle d’un plus lourd secret, que ses parents adoptifs lui cachent depuis sa naissance. Abi est l’enfant de l’archange Mickael et elle est elle-même un ange. Les anges déchus du Cercle de Thulé sont à sa recherche. Ils veulent se servir d’Abi comme sacrifice pour ouvrir la porte de l’Enfer et ainsi libérer Lucifer. Abi ne se doutant de rien, continue de vivre tranquillement sa vie de lycéenne. Elle ne sais pas qu’un garçon au visage d’ange va bouleverser sa vie à jamais…

« Autour de moi
Tout prend de l’ampleur
Autour de toi
Telle une Apparition
Hypnotise mon cœur
Attire mon attention
Scellant notre attraction. »

Facebook https://www.facebook.com/LaProphetiedesAnges?fref=ts

La semaine prochaine découvrez un peu plus sur Jess Swann

 

 

Un peu plus sur…

micro-sorcier

 

Déjà notre troisième rencontre 🙂 et aujourd’hui c’est Vanessa Terral qui répond à nos questions. Nous n’avons pas eu l’occasion de la rencontrer en chair et en os ( 😦 ) mais nous avons beaucoup échangé via internet et c’est une personne super abordable qui prend le temps de discuter et ça fait plaisir. En plus son univers est proches du notre ce qui nous la rend d’autant plus sympathique ( je connais peu de personne qui savent ce que sont les mâcheurs/mâchonneurs ^^)

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Les sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure ? (Depuis quand ? Comment ? …)

Vanessa Terral : Raconter des histoires, je fais ça depuis toujours. L’idée de les partager est venue avec la découverte du fanzinat et des fanfictions. Je suis d’ailleurs très fière d’avoir écrit la première fanfic yaoi francophone dans l’univers d’One Piece, sur fanfiction.net !

À Paris existe un petit festival qui s’appelle Harajuku. On y croise des fanzines mangas (vu le nom, vous vous en doutiez…), mais aussi quelques fanzines d’Imaginaire. C’est là que j’ai rencontré Lionel Bénard et son Borderline, dans lequel j’ai eu ma première nouvelle publiée. Petit à petit, je me suis mise à fréquenter les salons de l’Imaginaire, notamment en tant qu’ambassadrice de l’association MéluZine, et ce fut le doigt dans l’engrenage : premières soumissions pour des appels à textes, fanzines, webzines et anthologies ; premières publications – la toute première « pro » fut dans H.P.L. 2007, aux éditions Malpertuis. J’ai eu vraiment beaucoup de plaisir, et c’était une très grande chance, que de pouvoir rencontrer les éditeurs et les membres des associations ! Fréquenter les salons, discuter avec les gens des maisons, les autres auteurs, les illustrateurs (j’adore les illustrateurs, qui développent leurs propres univers et leurs récits, tellement passionnés et passionnants… Certaines œuvres graphiques peuvent m’inspirer des nouvelles entières !) a vraiment été un privilège et a fortement influencé mon parcours.

J’ai rencontré Cécile Guillot par le biais du fanzinat (Éveil et Pénombres, de l’association Transition ; Les Soupirs de Ligeia…) et du webzine (Le Royaume des fées). Nous nous sommes assez vite bien entendues, grâce à un imaginaire commun, je suppose, et ce genre d’affinités qui forment les amitiés à distance. Lorsqu’elle a créé les éditions du Chat noir, elle m’a demandé si je souhaitais participer à leur première anthologie : Le Lamento des ombres, puis si j’avais un projet de roman one-shot sous le coude. Il se trouve que c’était le cas… Le comité de lecture a aimé le pitch que je leur ai confectionné et L’Aube de la guerrière est né.

Après cela, j’ai voulu m’essayer au roman-feuilleton, que nous permettent de développer les eLivres. Je suis les éditions du Petit Caveau depuis leur création – avec un vrai coup de cœur pour la série Les Soupirs de Londres, d’Ambre Dubois – et celles-ci offraient cette possibilité. Cinq pas sous terre est plus sombre, les personnages plus durs et désespérés que dans ma première œuvre. On me dit parfois que les deux ne peuvent pas vraiment être comparés.

LS: Tu écris aussi bien sur les diverses religions magiques (Wicca, vaudou…) et diverses mythologies (anges, vampire…). C’est un univers qui te parle ? Tu te documentes comment ?

VT : Totalement ! Lorsque j’étais petite, il y avait dans la bibliothèque familiale un énorme livre sur les mythologies du monde. J’ai adoré m’y plonger ! J’avais aussi la Bible illustrée et, à côté de cela, L’Iliade et L’Odyssée pour les enfants. Un peu plus tard vint le très bon La Mythologie racontée à Juliette, de Jean Duché. Il y avait également les romans d’Odile Weulersse, en particulier dans des univers aztèque et égyptien. D’avoir lu tout ça, sur un plan d’égalité, et d’y avoir baigné depuis toute petite a créé les bases de mon imagination et une fascination pour ces récits et les croyances qui s’y rattachent. Au moment du collège, j’ai lu Le Cycle du Graal de Jean Markale, et à peu près en ce temps-là, j’ai découvert les Grandes Encyclopédies de Pierre Dubois. Tout ce qui a trait aux légendes, aux pratiques cultuelles – en particulier par le biais des documentaires et des récits d’ethnologues et d’anthropologues – me fascine.

Tiens, autres livres pour enfants de très bonne qualité : les albums Mythes et Légendes, dans la collection Hachette Jeunesse. Je me documente par le biais d’essais, voire de manuels pratiques ; de la collection Découverte Gallimard, qui réussit à être à la fois ludique, agrémentée de très belles photos, intéressante et claire ; des articles de revues spécialisées disponibles gracieusement et très aimablement sur Internet. Par exemple, pour le roman court L’Ivresse du djinn qui paraîtra en mars dans le recueil Black Mambo, la quasi-totalité de mes références proviennent des revues Awal et Les Cahiers d’Études africaines.

 LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent ?

VT : Il y a des auteurs dont les récits m’ont marquée : Jean Markale et Pierre Dubois, que j’ai déjà cités. Ce dernier m’inspire aussi en tant que personne, pour sa gentillesse et ses vastes connaissances, mais également pour le lien qu’il manifeste avec l’univers qu’il partage dans ses œuvres. Lovecraft, bien sûr…

En tant que jeune adulte et écrivain débutant, j’ai eu deux « chocs » : Neil Gaiman, qui m’a autorisée à plonger gaiement (c’est le cas de le dire… :-p ) dans l’urban fantasy, et Patricia Briggs avec sa série Mercy Thompson, qui a aussi validé, en quelque sorte, des partis pris vers lesquels je me dirigeais : une urban fantasy avec une héroïne forte, une intrigue qui laisse une bonne part au quotidien, le mélange des mythologies… C’est grâce à elle que j’ai écrit L’Aube de la guerrière et Cinq pas sous terre à la première personne. En parlant de personne, l’auteure, en tant qu’être humain, est aussi très inspirante. Son respect des autres, de la nature, sa façon d’aborder la vie se ressentent dans ses œuvres.

LS: Quels sont tes projets pour cette nouvelle année ? Des salons prévus ?

VT: Il y a déjà la sortie de Black Mambo, un recueil de trois romans courts dont je partage la couverture avec Sophie Dabat et Morgane Caussarieu. Il sortira aux éditions du Chat noir à l’occasion du Salon du livre de Paris.

Concernant les projets d’écriture, je travaille en ce moment sur un roman qui devrait être publié chez J’ai Lu en fin d’année ou début 2016 : Le Gardien de la source. Fait rare pour moi, il se situe dans une époque historique, les Cent-Jours qui marquent le retour de Napoléon. Il mélange roman gothique, romance, mythe grec… Pour m’y consacrer, j’ai mis en pause un autre projet. Nuits chthoniennes renoue avec mes récits habituels et se situe à notre époque. Il repose sur la légende de la dearg-due et sur l’extrapolation des pratiques de lithothérapie. Dès que Le Gardien est terminé, je m’y remets, ainsi qu’à un nouveau projet pour les éditions Láska.

Pour les salons, en revanche, cette année sera un peu le désert – surtout comparé aux années précédentes ! J’irai au Salon du livre de Paris, du 20 au 22 mars, pour la sortie de Black Mambo. Je squatterai le stand du Chat noir. Après, ça va dépendre de pas mal de choses. Il se pourrait que je me rende au Salon fantastique et à Fantassismik, sans garantie. Ça sera sans doute la première fois depuis six ou sept ans que je n’irai pas aux Imaginales, ça me fait tout bizarre…

 LS: As-tu un livre de chevet ? Tu sais, celui que tu adores, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps ?

VT : Pas vraiment, en fait…  ^^ ; Je ne reviens pas trop sur des livres déjà lus, car il y en a tellement, tellement d’autres à découvrir ! Il m’arrive de relire des passages de La Chimère aux ailes de feu, de Li-Cam, publié chez Griffe d’encre ; parfois des poésies – mais ça fait nana qui se la pète… :-p En revanche, je lis et relis des contes et des légendes issus de tous les continents, pour le plaisir mais aussi pour mon activité de conteuse.

Je conseille régulièrement les livres de Patricia Briggs (Mercy Thompson, Alpha & Omega, Le Pacte du Hob) ; De bons présages, American Gods et Anansi Boys, L’Étrange Vie de Nobody Owens, Odd et les Géants de glace – sans compter les comics Sandman et Death, de Neil Gaiman (avec Terry Pratchett pour De bons présages) ; Les Annales de la Compagnie noire, de Glen Cook (avec un niveau parfois très inégal entre les tomes)…

Il y a quelques livres qui m’ont vraiment marquée : Ash et la Bête qui parle, d’Anthony Fon Eisen. J’ai dû le lire quatre ou cinq fois alors que j’étais en primaire. Avec le recul, je pense que c’est un roman qui a conditionné ma façon de voir la vie et la relation avec les êtres, tous les êtres. La série Le Commandeur, de Michel Honaker, pour la classitude du personnage qui est tombé au bon moment de mon adolescence. Un peu plus tard, le premier cycle des Princes d’Ambre, de Roger Zelazny, entre autres pour sa magie des passages entre les mondes. Et, dans ma vie d’adulte, Femmes qui courent avec les loups, de Clarissa Pinkola Estés. À mi-chemin entre l’essai et le guide pratique façon manuel d’auto-analyse jungienne, l’auteure, conteuse et analyste, propose de lire l’espace dans les silences des contes et de réveiller les archétypes féminins cryptés dans ces récits transmis par la mémoire de l’humanité. Lui aussi, je le conseille assez régulièrement…

Fan art de L'aube de la Guerrière

Fan art de L’aube de la Guerrière

Merci aux Sorcières pour leurs questions et leur curiosité !

En leur souhaitant, ainsi qu’à vous, une année 2015 remplie de belles lectures, prenantes et envoûtantes !

LS: Un grand grand merci à Vanessa pour sa gentillesse et le temps qu’elle nous a accordé. 

Quelques unes de ces histoires:

Le miroir au fond du puits de Vanessa Terral

Le miroir au fod du puit

L’aube de la guerrière de Vanessa Terral

L'aube de la guerriere

L’étincelle en moi de Vanessa Terral

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Son blog: https://vanessaterral.wordpress.com/

La semaine prochaine découvrez un peu plus sur Virginie goevelinger

Un peu plus sur…

micro-sorcier

 

Bonjour à tous voici notre second rendez-vous et aujourd’hui nous nous intéressons à Adeline Dias , jeune auteure qui vit dans le Nord et qui nous a séduite par ces romances contemporaines et sa gentillesse.

Adeline Dias

Les sorcières: Quel est ton parcours en tant qu’auteure? ( depuis quand, comment…)

Adeline Dias: Mon parcours… j’ai commencé par écrire sur mon blog. Des histoires d’adolescents surtout, de magie, de romance déjà. Puis un jour, j’ai reçu un mail d’un éditeur, me demandant si je voulais bien écrire un roman pour eux. C’est comme ça qu’Une héritière à Valenciennes a vu le jour en mai 2010… et ensuite En Rage de toi et Perception..

 LS: Tu écris des histoires qui se passent dans le Nord ( Lille, Valenciennes) , c’est parce que tu connais la région ou c’est parce que tu aimes cette région? ( où les deux ^^)

AD: Si j’écris sur le Nord, c’est parce que j’adore cette région. Je la connais forcément, et j’adore mettre du « réel » dans mes romances. J’aime pouvoir me balader et me dire « c’est là qu’ils étaient » même si c’est totalement fictif…

LS: et Prince ( le chat ) [cf à deux pas de chez toi] il existe vraiment??? ^^

AD: Je dirais que mon chat s’appelle Pixel. Je n’ajouterai rien même sous la torture.

Fan art A deux pas de chez toi

Fan art A deux pas de chez toi

 

LS: Quels sont les auteurs ou personnes qui t’inspirent?

AD: Les personnes qui m’inspirent, c’est souvent mon entourage. Beaucoup d’habitudes, de manies, de caractères de mes personnages viennent de mes proches. Concernant les auteurs, je suis une fan de Mireille Calmel, de Juliette Benzoni… j’aime leurs personnages.

 LS: Quels sont tes projets pour cette nouvelle année?

AD: Pour cette année, j’ai des projets en cours, mais je ne peux malheureusement rien dire. Bientôt, wait & see …

LS: Des salons prévus? 

AD: Les salons, ça sera sans doute calme cette année en tant qu’auteur. En tant que visiteuse par contre…

LS: Sinon as tu un livre de chevet? Tu sais celui que tu adore, que tu as déjà lu 15 fois et que tu conseilles tout le temps?

AD: Un livre que j’adore que j’ai relu plusieurs fois… Les flammes de la Nuit de Michel Pagel

LS: Merci Adeline d’avoir pris du temps pour nous répondre.

Une héritière à Valenciennes

 

 

 

Dans le train en direction de Valenciennes, deux vies et deux destins se croisent. Alice fuit sa vie parisienne, sans vraiment savoir où aller. Gabriel, père divorcé, rentre avec  le petit Maxime dans le Nord pour y passer les vacances. Dans le TGV, cette jeune femme l’intrigue : elle a quelque chose de fragile. Il est loin de se douter qu’elle changera le quotidien de sa vie de libraire.

 

Couverture de En rage de toi

Dans une rue proche de la Grande Place de Lille, un nouveau café vient d’ouvrir ses portes : le Marylin. Son gérant, Josselin, espère pouvoir y refaire sa vie tranquillement, essayant de mettre de côté un passé douloureux.
Mais c’est sans compter sur un petit geste du destin. Elle est belle, brune et surtout pressée. Lui, il a juste eu le malheur de la bousculer dans la rue.
C’est leur première rencontre, mais pas la dernière… Juliette vient d’entrer dans la vie de Josselin.
Ils ne le savent pas encore mais cette rencontre va bouleverser leur vie.

 

Couverture de Esprits Infinis, Tome 1 : Perception Et si certains d’entre nous étaient dotés de capacités psychiques hors normes ? Votre facteur pourrait lire dans votre esprit, votre collègue de travail ressentir vos émotions…

Mais vous ne pourriez pas le savoir, les Psis gardent bien leur secret.
Lorsque Lou rencontre Antoine, elle sent en lui une dangerosité, un mystère qui l’attirent et l’effraient tout à la fois.
Elle ne le sait pas encore, mais il va l’entrainer dans son monde. Celui des Psis.

A deux pas de chez toi

 

Anaïs et Ludovic sont voisins.Tout aurait été plus simple si ces deux-là n’étaient pas attirés l’un par l’autre.

Et si Prince, le chat de la jeune femme, n’avait pas décidé de s’en mêler. Mais le matou s’est bel et bien mis en tête de les pousser dans les bras l’un de l’autre.

Seulement, les aléas de la vie, le caractère des Humains et leurs sentiments ne vont pas l’aider dans sa tâche. Les félins sont têtus… heureusement.

Mon avis: A deux pas de chez toi d’Adeline Dias et Prince

Son blog: http://www.songesdeplumes.fr/

La semaine prochaine découvrez un peu plus sur Vanessa Terral

Un peu plus sur…

Et bien voilà. Nous vous en parlions il y a peu sur facebook: nous avons envie de toujours faire évoluer notre blog, de créer, de proposer, de partager. Du coup nous sommes aller faire toc toc chez plusieurs auteurs qui nous ont gentiment accordé leur temps. Grâce à cela nous créons un nouveau rendez vous. Tous les dimanches un auteur ( ou illustrateur) se prête au jeu des questions-réponses pour en savoir un peu plus sur eux.

micro-sorcier

 

Nous avons décidé d’inaugurer ce rendez-vous par une association qui nous tient à coeur: La confrérie de la carotte. Rencontrée au Valjoly’maginaire 2014 nous avons tout de suite sympathisés avec ses membres proches des lecteurs et pleins de bonne humeur. Vous ne connaissez pas??? Alors nous laissons la parole à Virginie Goevelinger, carotte en chef.

La confrérie de la carotte

 

Les sorcières:Qu’est ce que la confrérie de la carotte?
Virginie Goevelinger: La Confrérie de la Carotte est une association d’auteurs, d’illustrateurs et d’autres trucs en « eur »

LS: Quel est son but? depuis quand existe t elle?
VG: Son but est de regrouper auteurs, illustrateurs pour pouvoir accéder à certains salons qui ne sont pas ouverts aux indépendants et de mettre en contact ses adhérents si ils cherchent des illustrateurs, des conseils, des bêtas lecteurs, des correcteurs, des imprimeurs etc…
L’Association a été créé en octobre 2014 au départ pour participer au Salon Fantastique de Champérêt à Paris.

LS: Qui sont les membres de ce potager?
VG: Les membres du bureau :
– Présidente/Carotte en Chef : Virginie GOEVELINGER
– Trésorier/Oncle Picsou – Alexandre ANTIGNY
– Secrétaire/La Carotte Scribe – Emilie ANSCIAUX
– Correctrice/Bêta-lectrice/Serial Couleur : Carole DURAND
– Correctrice/Bêta-lectrice/la Psychopathe de l’orthographe : Adeline DIAS
– Membre d’honneur/ Carotte d’Horreur : Delphine DUMOUCHEL

Confrérie de la Carotte

LS: Quels sont les projets de la confrérie pour cette nouvelle année?
VG: Planter beaucoup de carottes et entretenir son potager. Et pourquoi pas conquérir le monde !!!
Faire des salons aussi, promouvoir les livres de nos carottes aussi et tout ça dans la bonne humeur !
En suivant toujours les 10 carottements :

– Le melon jamais tu n’auras
– La pêche tu communiqueras
– Toujours la banane tu afficheras
– Ta fraise aux salons des dédicaces tu amèneras
– Ta carotte et ta cape tu n’oublieras pas
– Si tu aimes écrire des salades, un dico tu utiliseras
– Pas de pommes mais des livres tu dévoreras
– Comme un citron tu seras pressé si tu as le malheur de mythonner
– Pour éviter la fin des haricots, une grande tour de Pise tu construiras
– Dans ta poire ma main s’imprimera si tu manques aux Carottements !

LS: Enfin peux tu nous parler un peu de ton projet de salon sur Dormans ou il est classé « secret-défense » et on risque de se prendre une armée de lapin déchaîné sur nous pour avoir osé abordé le sujet ^^?

VG: Hi lol, Non c’est pas top secret. [c’est un] Salon sur le thème de l’imaginaire, roman, jeunesse, médiéval, mythes et légendes, SF, Fantasy, Fantastique (Ah oui polar et thriller aussi). Notre Salon se déroulera les 18 et 19 juillet 2015. L’organisation d’un salon du Livre est une volonté culturelle, née d’une envie commune entre les membres de la Mairie, les associations « Les Musicales de Dormans » et « La Confrérie de la Carotte ». Ce salon se déroulerait au château du XIVème siècle qui compte un parc de 25 hectares. C’est un lieu de promenade privilégié pour les amoureux de la nature. Dans ce cadre idyllique et historique, nous aimerions alliés découvertes des auteurs, artisans et autres animations ( e x h i b i t i o n d ’ e s c r i m e médiévale, danses irlandaises, ateliers pour enfants). extrait du bulletin d’information projet salon dormantastique)
LS: Nous ne savons pas pour vous mais en tout cas nous nous y serons ^^
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La confrérie de la carotte 2

Leur page Facebook: https://www.facebook.com/LaConfrerieDeLaCarotte

La semaine prochaine découvrez un peu plus sur Adeline Dias.